En fait, n'étant pas politologue, ce n'est qu'une
spéculation, mais bon, je suis déçue quand même pour un pays comme le Mexique. En fait, il a enfin pu se débarrasser de l'
excécrable Vicente Fox, mais bon ce n'est qu'un de ses substrats qui prend le pouvoir,
Felipe Calderón. À ce point, le Mexique devient de plus en plus dépendant des États-Unis malheureusement (l'ALENA). Si le Mexique avait fait un
virement comme c'est la tendance dans les pays hispanophones, je crois que ça aurait été une très grosse gaffe :
une chute pour l'ALENA,
un maelstrom de problèmes dans l'Amérique latine, etc.
Mais cette barrière qui, peut-être bien, sera condamné par les autres pays d'Amérique du Sud (latine + centrale) puisqu'elle isole des partenaires économiques comme
the United States of America et le Mexique. Déjà que les États-Unis ont encore peu à faire en Amérique du Sud pour se narguer d'être détesté, le score de l'Équateur est encore à suivre. C'est décidément la même chose pour l'
Espagne (avec Zapatero) ou même l'
Italie (de Prodi), mais dans une minime proportion cependant.
Les États-Unis
perdent beaucoup de leur influence ; ni plus, ni mal, ils semblent se reprendre à exercer une pression d'influence au
Moyen-Orient plutôt, comme la
Russie d'ailleurs (construction de centrales nucléaires en Iran, fournir des armes de combat à la Syrie, rencontre présidentielle avec le Hamas, etc.)