Le projet High Frequency Active Auroral Research Program, abrégé en HAARP, est un programme américain à la fois scientifique et militaire de recherche sur l'ionosphère.
Fondé sur les découvertes scientifiques de Nikola Tesla, les installations du HAARP utilisent notamment la technologie IRI (ionospheric research instrument) et des techniques radioélectriques afin de modifier localement l'ionosphère, par excitation via des ondes haute fréquence (HF), et ainsi d'étudier les modifications sur les communications longues distances.
Le site est installé près de Gakona, en Alaska (lat. 62.23° Nord, long 145.09° Ouest). L'installation aurait coûté 30 millions de dollars. HAARP est le 3ème site de recherche ionosphérique des États-Unis, les autres étant dans les environs de l'observatoire d'Arecibo à Porto Rico, et proche de Fairbanks en Alaska, la station HIPAS. La station de recherche Européenne EISCAT avec une puissance de 1000 MW (ERP) est située près de Tromsø, en Norvège. Une station similaire se trouve en Russie près de Nijni-Novgorod, avec une puissance de 190 MW, il s'agit de la station Sura.
Selon le site web dédié à ce programme, cette installation a pour objectif d'étudier les propriétés de l'ionosphère. Plus particulièrement, elle permet d'étudier comment les perturbations de cette couche de la haute atmosphère par les orages magnétiques affectent les communications radio mondiales, les systèmes de navigation par satellite ainsi que les réseaux de transport d'électricité sur de longues distances.
Avec ces installations, les chercheurs « tentent aussi de produire de petits changements temporaires sur une région limitée, directement au-dessus du site d'investigation, qui, en aucun cas, ne peut être comparable aux phénomènes globaux provoqués par les perturbations solaires. Les instruments, d'une sensibilité extraordinaire, installés à l'observatoire HAARP permettent de faire des corrélations détaillées à partir des effets limités ainsi produits, permettant une meilleure compréhension de la façon dont l'ionosphère répond à une grande variété de phénomènes naturels.»
Une rapide recherche sur le web permet de constater sur les sites dédiés, diverses « conspirations » ou d'autres intentions sont prêtées à ce projet. Sa capacité d'influencer l'ionosphère serait beaucoup plus importante qu'admise officiellement. Ces 180 antennes permettraient un jour de faire des recherches pour pouvoir modifier le climat, interrompre toute forme de communication hertzienne, détruire ou détourner avions et missiles transcontinentaux et finalement, influencer les comportements humains, tout cela via des actions sur l'ionosphère.
Cette théorie a été développée dans le livre Les anges ne jouent pas de cette HAARP (1995) par le docteur Nick Begich et la journaliste Jeane Manning. D'un autre côté, le ministère américain de la Défense apporte du financement à quantité de projets, sans que cela n'ait un rapport avec l'armement (transports, alimentation, communications, météo).
Etant donné que l' on est au courant de meme pas 10% de la réalité et que le citoyen moyen est en constant retard d'une cinquantaine d' années (ce qui est ma foi parfaitement normal, il manquerai plus que l'on est tous accés au bouton rouge!), ces informations font flipper.
Il y a quelques semaines je trouvait bizarre que les 2 pays designés ennemis en cette premiere moitié 2008 soient victime de 2 enormes catastrophes naturelles (j' avoue hésiter à mettre des guillemets...).
D'autant que d' habitude pour les typhons, on nous bassine minimum 1 semaine avant. Là nada! wallou! par contre on a appris que le gouvernement américain pris des sanctions économiques contre la birmanie quelques jours avant le désastre.... on s' étonne ensuite que le gouvernement Birman n' accueille pas l' "aide" américaine à bras ouverts...
ça n' a peut etre rien à voir avec notre HAARP mais tout celà mérite reflexion.