Nouveau mur de la honte

Le président américain George Bush a signé le 4 octobre 2006 une loi autorisant la construction d'un mur frontalier entre les Etats-Unis et le Mexique pour freiner l'immigration clandestine.

En vertu de cette loi, 1,2 milliard de dollars seront dépensés durant l'année fiscale qui a débuté le 1er octobre pour la construction de ces palissades et clôtures sur 1.125 km.

Les républicains voient dans cette décision un moyen de séduire une partie de leurs électeurs favorables à la répression de l'immigration, à l'approche des élections au Congrès du 7 novembre.

George Bush avait espéré persuader le Congrès d'adopter une réforme de l'immigration plus globale, assortie d'un programme d'accueil, un projet enterré par une partie des républicains.

Le Mexique a pris l'initiative du Congrès comme une gifle, Vicente Fox ayant toujours tenté, en six années à la présidence, de négocier un accord avec Washington sur l'immigration.

Le président élu Felipe Calderon, qui lui succèdera le 1er décembre, a également fustigé le projet.

"Cela ne résout pas le problème et, j'insiste, cela incitera de nombreux Latino-Américains à prendre davantage de risques, ce qui pourrait déboucher sur des décès", a-t-il dit lors d'une visite en Colombie.

source: http://www.lexpress.fr/info/quotidien/actu.asp?id=6203

aprés le mur israélo paléstinien un nouveau mur de la honte , de la peur et de l'incompréhension entre les peuples va ce construire

pour ma part je pensse que le gouvernement américain devrait utiliser c'est 1,2 milliard de dollars pour venir en aide a la population méxicaine en construisant des hopitaux ect...

Ce n'est pas nouveau...
Ariel et Georges aiment jouer avec les briques, qu'est-ce qu'on peut y faire...

En fait, n'étant pas politologue, ce n'est qu'une spéculation, mais bon, je suis déçue quand même pour un pays comme le Mexique. En fait, il a enfin pu se débarrasser de l'excécrable Vicente Fox, mais bon ce n'est qu'un de ses substrats qui prend le pouvoir, Felipe Calderón. À ce point, le Mexique devient de plus en plus dépendant des États-Unis malheureusement (l'ALENA). Si le Mexique avait fait un virement comme c'est la tendance dans les pays hispanophones, je crois que ça aurait été une très grosse gaffe : une chute pour l'ALENA, un maelstrom de problèmes dans l'Amérique latine, etc.

Mais cette barrière qui, peut-être bien, sera condamné par les autres pays d'Amérique du Sud (latine + centrale) puisqu'elle isole des partenaires économiques comme the United States of America et le Mexique. Déjà que les États-Unis ont encore peu à faire en Amérique du Sud pour se narguer d'être détesté, le score de l'Équateur est encore à suivre. C'est décidément la même chose pour l'Espagne (avec Zapatero) ou même l'Italie (de Prodi), mais dans une minime proportion cependant.

Les États-Unis perdent beaucoup de leur influence ; ni plus, ni mal, ils semblent se reprendre à exercer une pression d'influence au Moyen-Orient plutôt, comme la Russie d'ailleurs (construction de centrales nucléaires en Iran, fournir des armes de combat à la Syrie, rencontre présidentielle avec le Hamas, etc.)

J'y pense tout a coup, le Canada devrait construire son mur lui aussi. Il y a de plus en plus d'États-Uniens qui traversent au Canada pour fuir leurs responsabilités, des déserteurs de l'armée, ou des gens qui fuient leur procès.

Mais il y a très peu de Canadiens qui fuient aux États-Unis, il y en a bien qui fuient leur procès Canadien, mais vu que les prisons Canadienne sont plus agréable que les prisons américaines, les criminels sont tenté de faire leurs méfaits au Canada pour ensuite fuir au États-Unis pour ne pas être attrapé par les enquêteurs Canadien.

Mais bon, il y a des moyens de surveillance plus sophistiqués pour ainsi regarder les frontières. Évidemment, n'importe qui trouvera un moyen pour les traverser. Je suis vraiment une défenseuse (défenseure ? ) de la protection des frontières, non sans frôler l'autarcie, loin de là ! Cependant, pour l'Italie, par exemple, il y a bien trop d'entrées ici et là dans le pays, mais si c'est difficile de surveiller toutes les entrées, mais peu de projets sont mis sur pieds pour ainsi les défendre.